•   Ce n'est pas un hasard si, au cœur de l'hiver, on boit du vin chaud dans les régions les plus humides, froides et sombres d'Europe.

    C'est que l'organisme à ce moment est bien menacé par les virus, et le système immunitaire profite d'un bon coup de fouet, procuré par toutes les épices et composés qui se trouvent naturellement dans le vin rouge chaud et épicé.

    Vive le vin chaudMa recette de vin chaud (à préparer chez soi en toute sécurité)

    La meilleure recette de vin chaud, selon moi est la suivante :

    Prenez une litre de Pinot Noir (vin rouge d'Alsace). Versez-le dans une casserole que vous mettrez à chauffer à feu moyen.

    Ajoutez le zeste d'un citron et d'une demi-orange non traités, un bâton de cannelle (si possible de la vraie cannelle de Ceylan, Cinnamomum verum de couleur claire, et non de la cassia, brune, qu'on essaye en général de refourguer aux clients peu attentifs car elle coûte moins cher à produire), 5 centilitres de crème de cassis, 40 grammes de cassonade brune, 30 grammes de miel.

    Laissez chauffer 3 à 5 minutes sans faire bouillir puis ajoutez 2 étoiles de badiane (anis étoilé), 2 clous de girofle, 1 toute petite pincée de muscade, 2 capsules de cardamome et 4 grains de poivre noir.

    Laissez chauffer encore 10 mn, toujours sans faire bouillir, coupez le feu et laissez infuser 2 heures.

    Passez le vin chaud dans une passoire pour filtrer. Vous pouvez le garder dans une bouteille au frigo et le resservir pendant 3 jours, après l'avoir réchauffé bien sûr (le vin chaud se boit très chaud).

    Les Alsaciens ajouteront des petits morceaux d'orange et de citron avec l'écorce. 

     À votre santé !

    Jean-Marc Dupuis   Santé Nature Innovation


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    Posted in: South Africa

    Le Figaro | le 16/02/15

    L’Afrique du Sud veut interdire la propriété aux étrangers

      Afrique du Sud veut interdire la propriété aux étrangers   Par Jean-Bernard Litzler

      Une loi en préparation à Pretoria prévoit de limiter la surface des grandes propriétés et d’en interdire l’accès aux étrangers. Le texte concerne surtout les terres agricoles mais devrait avoir un impact sur l’immobilier résidentiel.

      Pour le président sud-africain, Jacob Zuma, corriger les déséquilibres hérités de la colonisation et de l’apartheid reste une priorité. C’est dans cet état d’esprit que le dirigeant politique a annoncé en fin de semaine dernière son projet de réforme foncière lors de son discours annuel sur l’état de la Nation. Le texte qui devrait être voté cette année, limitera la propriété des terres à 12.000 hectares par personne, soit «l’équivalent environ de deux fermes». Quant aux étrangers, ils ne pourront plus que louer la terre pour 30 à 50 ans. Il n’y aura cependant pas d’expropriation puisque le concerne ne concernera que les nouvelles acquisitions.

      «C’est un très mauvais calcul susceptible d’avoir de sérieuses répercussions sur la confiance des investisseurs dans le pays», critique Lew Geffen, dirigeant du réseau immobilier de luxe Sotheby International Realty. Le texte ne concernera pas les immigrants ayant acquis la citoyenneté sud-africaine ou les coentreprises majoritairement locales. Par ailleurs, «les terres sensibles pour l’environnement et la sécurité, ou ayant une signification culturelle, historique, ou stratégique seront classifiées par la loi et leur propriété par des étrangers dans ces zones sera découragée», précise la présidence.

      Avec cet arsenal juridique, l’Afrique du Sud rejoindra le nombre grandissant d’Etat imposant des restrictions aux étrangers sur la propriété foncière. Il est ainsi impossible de s’acheter une île en Asie, puisqu’elle se vendent quasiment toute en «leasehold», une location de longue durée. Du côté de la Nouvelle-Zélande, un étranger ne peut acheter une île que si elle a d’abord été proposée sur le marché néo-zélandais pendant un certain temps.

      Et sur la terre ferme, la Thaïlande interdit également aux étrangers la possibilité de posséder un terrain en nom propre. Reste alors le droit d’acquérir un appartement en copropriété où les étrangers sont minoritaires. Plus subtil, ceux qui souhaitent malgré tout acquérir une villa doivent louer le terrain ou alors créer une société thaïe possédant le bien et dont l’étranger est actionnaire à 49 % mais en ayant pris soin d’obtenir un courrier officiel où l’actionnaire majoritaire renonce à son droit de contrôle.

      Bien plus proche de nous, les candidats étrangers à un achat en Suisse (et non résidents) sont soumis à de multiples règles. La confédération prévoit des quotas annuels maximum par région touristique et il faut parfois attendre plusieurs années, comme dans le canton de Vaud, par exemple. Par ailleurs, ils ne peuvent posséder qu’un seul bien par famille et le bien en question ne doit pas dépasser les 200 mètres carrés habitables.


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  •  Ingrédients

    • 150 gr de chocolat dessert
    • 80 gr de purée de noisette
    • 150 ml de lait de coco
    • 2 c.à soupe de sirop d'agave
      Proposée par Maëlle Feret   sur Féminin bio

    Une pâte à tartiner complètement addictive, très simple, pour garnir vos crêpes... et pour mille autres goûters gourmands !

    Une recette proposée par Maëlle Feret, naturopathe, créatice culinaire et coach en bio-alimentation. 

    Retrouvez Maëlle sur son blog, Permis de gourmandise et les dates de ses prochains ateliers sur FemininBio.

    Préparation

    1. Faire chauffer le chocolat, la purée de noisette et le lait de coco au bain-marie.

    2. Quand vous pouvez mélanger en obtenant une consistance homogène, ajouter le sirop d’agave. Mélanger.

    3. Réserver au frais pendant une heure au moins avant dégustation. Cette pâte à tartiner se conserve une semaine au frais dans un pot hermétique.


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