• Libérez-vous

    2011       228 p.      22€

     

        Troubles de l'équilibre, douleurs généralisées, tangue chronique, cervicalgies, lombalgies. Et si tous ces maux étaient dus à certains objets que nous portons ? La simple présence d'une matière vibratoirement polluante, comme celle d'une paire de lunettes, d'une reconstitution dentaire ou d'un bijou, peut induire ce genre de pathologie, et bien d'autres. Cette dimension électromagnétique de l'homme, une réalité encore négligée par la médecine moderne, est ici mise en évidence de façon spectaculaire grâce à des tests de posturologie.
       La posturologie, au croisement des médecines dites parallèles et de la médecine classique, propose une vision holistique de l'homme. Elle permet de relier le visible à l'invisible, et nous prouve, entre autres, qu'il existe un autre monde, celui du vibratoire. A l'instar des médecines alternatives, la posturologie trouve son bien-fondé dans les principes d'équilibre et d'harmonie. Complet et accessible, ce livre écrit par un spécialiste en posturologie est destiné à toute personne soucieuse de sa santé, aux thérapeutes souhaitant élargir leur savoir, ainsi qu'aux sportifs désireux d'améliorer leurs performances. Véritable guide pratique, il vous permettra en particulier de vérifier votre électrosensibilité aux ondes émises par différentes matières parasites, présentes sur votre corps mais aussi dans votre environnement.
     
        Le docteur Gérard Dieuzaide, chirurgien dentiste à Toulouse, est fondateur de la Société de Posturologie interdisciplinaire Midi-Pyrénées. Titulaire d'un diplôme interuniversitaire de posturologie, il s'est pendant de nombreuses années intéressé à la relation entre l'occlusion dentaire et la posture. Son expérience clinique l'a amené à constater et mettre en évidence l'effet sur la santé des interférences électromagnétiques de certaines matières. Il est l'auteur de nombreux articles sur le sujet.

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  • La viande est une source de protéines, nécessaires pour le corps. Consommée avec excès, responsable de l'émission de gaz à effets de serre, elle gagne à être complétée par des légumineuses, céréales et graines oléagineuses.                                                                                                  

    La viande, fournisseur de protéines

    Molécules indispensables au bon fonctionnement du corps humain, les protéines sont présentes dans toutes les cellules et tous les tissus : muscles, os, cheveux, ongles. Nous n'en stockons pas : ce qui est ingéré est soit utilisé, soit rejeté.
    Viande, poissons, œufs, produits laitiers fournissent des protéines ; ces aliments apportent même l'ensemble des acides aminés dont nous avons besoin, y compris les huit que nous ne fabriquons pas.

    Pourquoi limiter la viande

    • La surconsommation de viande, et surtout celle de veau et de bœuf, est responsable à elle seule de près d'un tiers des émissions de CO2 de l'agriculture.
    • La surconsommation de viande, notamment la viande rouge, favorise les maladies cardiovasculaire©F. Barberousses, le cancer du colon, la goutte, les calculs rénaux, par l'apport de matières grasses saturées et de cholestérol.
    • Lorsque nous consommons des protéines végétales, nous ingérons plus de nutriments intéressants : bons sucres, antioxydants, fibres, fer, calcium, vitamines B… Avec la viande ou les produits laitiers, seuls le fer ou le calcium ou les vitamines B sont présents. La combinaison gagnante : une grosse portion de protéines végétales complétée d'une petite de protéines animales.

    Les autres sources de protéines

    Ce sont les aliments d'origine végétale, céréales, légumineuses, oléagineux, légumes. Ces protéines ont une valeur biologique moindre, mais il suffit d'associer une céréale et une légumineuse ou des céréales et des fruits oléagineux pour répondre à ce manque.

    Les principales sources de protéines (produits végétaux en gras)                                            ©F. Barberousse

    SourceTeneur (en grammes pour 100 g)
    Soja 35
    Fromage affiné 20 à 30
    Légumes secs 18 à 25
    Viande 17 à 22
    Poisson 16 à 21
    Amandes, noix, noisettes 15 à 20
    Quinoa, amarante 14
    Blé, seigne, avoine, orge, sarrasin 12
    Œuf 13
    Fromage blanc 8
    Riz 8
    Lait de vache

    3,3

    Ne pas abuser des protéines

    La dégradation des protéines donne naissance à l’urée et à l'acide urique. Une consommation excessive sollicite le métabolisme hépatique et rénal pour l’élimination. Il en résulte une réaction acide.
    L’apport recommandé en protéines pour un adulte est aujourd’hui de 0,8 g par kilo de poids et par jour, soit 56 g par jour pour un homme de 70 kg. La consommation est souvent excessive, entre autres chez les enfants.

    Le coût : moins élevé pour les protéines végétales

    Des calculs ont démontré qu’à ration égale – 20 g de protéines pour une personne –, l’association de 100 g de céréale bio et 50 g de légumineuse bio est nettement moins chère que l’équivalent carné, soit 100 g de viande non bio.

    Comparaison du coût de trois repas selon leur composition et l'origine des ingrédients

    Menu “classique” avec ingrédients conventionnelsMenu équilibré végétarien avec ingrédients biologiquesMenu avec produits biologiques et protéines carnées économiques

    Charcuteries
    Steak bavette (aloyau) aux échalotes et gratin dauphinois
    Fromages
    Tartelette aux pommes nappée

    Salade de crudités (feuilles de chou rouge et chou blanc, carotte râpée)
    Couscous végétarien (semoule de blé complet, pois chiche, carottes et poireaux)
    Yaourt
    Crumble aux pommes
    Salade de crudités
    Bœuf bourguignon et carottes
    Fromage blanc aux fruits de saison
    Coût du plat principal : 3,90 €
    Coût du repas : 8,80 €
    Coût du plat principal : 0,65 €
    Coût du repas : 1,85 €

    Coût du plat principal : 2,20 €
    Coût du repas : 3,70 €

     Véronique Buthod

    • Retrouvez les recettes des lecteurs des 4 saisons du jardin bio et de Terre vivante, pour cuisiner légumes, céréales et légumineuses à toutes les saisons.
    • Voir l’article en archive “Céréales, quoi de neuf pour la santé ?” du n°124 (septembre-octobre 2000) des 4 Saisons du jardin bio.
    • Voir l’article en archive “Fer : faut-il manger de la viande ?” du n°130 (septembre-octobre 2001) des 4 Saisons du jardin bio.

    En savoir plus - livres de Terre Vivante

    Livre Fabuleuses légumineuses Fabuleuses légumineuses
    Claude Aubert

    Des protéines pas chères pour un bon équilibre alimentaire.
    Livre Manger bio, c'est pas du luxe Manger bio, c'est pas du luxe
    Lylian Le Goff

    Déjà convaincu vous serez conforté… Pas encore, vous le deviendrez ! 
     Les échos écolos (Terre Vivante )

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  • additifs alimentaires

    Les additifs alimentaires sont des produits ajoutés à la nourriture.
    Ils doivent être écrit sur l’emballage, dans la liste des ingrédients.

    La définition officielle d’un additif alimentaire est une substance habituellement non consommée comme aliment en soi et habituellement non utilisée comme ingrédient caractéristique dans l’alimentation, possédant ou non une valeur nutritive, et dont l’adjonction intentionnelle aux denrées alimentaires, dans un but technologique au stade de leur fabrication, transformation, préparation, traitement, conditionnement, transport ou entreposage, a pour effet, ou peut raisonnablement être estimée avoir pour effet, qu’elle devient elle-même ou que ses dérivés deviennent, directement ou indirectement, un composant des denrées alimentaires.

    Les additifs alimentaires sont des produits ajoutés aux produits alimentaires dans le but d’en améliorer la conservation, l’aspect, le goût, etc.

    Les colorants alimentaires, les conservateurs, les émulsifiants, épaississants, stabilisants, gélifiants, les exhausteurs de goût et les édulcorants sont des additifs alimentaires. 

    On peut classer les additifs alimentaires dans trois catégories :

     Les additifs inoffensifs pour la santé.

     Les additifs avec une polémique : certains rapports de santé dans le monde considèrent que l’additif comporte un danger et d’autres non.

     Les additifs dangereux pour la santé. 

    La liste des additifs alimentaires dangereux pour votre santé :

     Le Propylène Glycol E1520 ou Anti-gel pourrait être dangereux.
    Voici des informations complémentaires :
    Le seul cas ou le Propylène Glycol est utilise comme antigel, c’est pour obtenir un antigel très cher, utilisable dans les chambres froides alimentaire, la ou une fuite non détectée ne doit pas contaminer la nourriture.
    Associer antigel et Propylène Glycol sans explication, est trompeur. En effet le public a dans l’esprit que l’antigel est très dangereux, car le seul qu’il manipule est celui de voiture hautement toxique a base d’éthylène glycol (éthylène =/= propylène). L’utilisation de Propylène Glycol comme antigel certifié pour l’agro alimentaire, est un point pour sa non toxicité. Le Propylène Glycol est aussi beaucoup utilise dans les produit de beauté et comme excipient de médicament.
    Il est aussi utilise pour fabriquer, depuis des décennies, la fumée dans la discothèque ou le cinéma (le Propylène Glycol se vaporise a 55-60°), sans jamais avoir eu de problème d’intoxication rapporté.
    Le seul rapport connu a ce jour sur le Propylène Glycol est celui de l’INRS (Institut National de Recherche et de Sécurité) il date de 1994 et conclu en substance, de la non toxicité du produit aussi bien pour l’ingestion en forte dose, l’inhalation et le contact cutané. (inrs.fr/INRS-PUB/inrs01.nsf/inrs01_catalog_view_view/91018D65A315739CC1256CE8005A622A/$FILE/ft226.pdf)

     Le Polyvinylpyrrolidone E1201 et E1202 : il permet de lier des agents de turbidité dans une boisson.
    Risque pour la santé : des fausses couches et des cancers.

     Diphényle E230 : un conservateur de synthèse également utilisé comme pesticide, interdit en Australie.
    Risque pour la santé : des nausées, une irritation des yeux, allergies, etc.

     L’aspartame E951 : il est très utilisé dans les produits lights (boisson, gateaux, chewing-gum, etc.)
    Risque pour la santé : des troubles digestifs, des maux de tête, insomnies, prise de poids, douleurs articulaires, trous de mémoire, crises de panique, infertilité, etc.

     Acide Cyclamique E952 et sels de Na, Ca : édulcorant de synthèse pour remplacer le sucre.
    Risque pour la santé : Cancers (Additif interdit aux Etats-Unis en 1970, autorisé au Canada et dans d’autres pays.)

     Sucralose E955 : édulcorant 600 fois plus sucrant que le sucre.
    Risque pour la santé : problèmes de foie et de reins.

     Saccharine E954 et sels Na, K, Ca : édulcorant 300 fois plus sucrant que le sucre.
    Risque pour la santé : de nombreuses allergies.

     Sel d’aspartame E962 et Acésulfame-K : fonction similaire à l’aspartame et à acesulfame-k.
    Risque pour la santé : voir les risques pour l’aspartame e951 et l’acésulfame k.

     Xylitol E967 : édulcorant de synthèse reconnu comme cancérigène aux Etats-Unis par la Food and Drug Administration.
    Risque pour la santé : problèmes de reins, évanouissement, acidose, problème d’orientation, etc.

     Acide benzoïque E210 : c’est un conservateur chimique.
    Risque pour la santé : des problèmes de croissance, insomnies, trouble du comportement, etc.

     Acesulfame-k E950 : édulcorant 200 fois plus sucrant que le sucre. Il serait plus dangereux que la saccharine et l’aspartame.
    Risque pour la santé : hausse de cholestérol, cancers, problèmes aux poumons, hypoglycémie, etc.

     Azodicarbonamide E927a ou Azoformamide : additif interdit en Australie et en Allemagne.
    Risque pour la santé : asthme, hyperactivité, insomnies, etc.

     Cire de polyéthylène oxydée E914 : Utilisé comme agent d’enrobage pour traiter les agrumes, légumes, fruits.
    Risque pour la santé : de gros risques si on on ne lave pas les fruits/légumes et également ses propres mains.

     Esters de l’acide montanique E912 : cire végétale utilisé comme agent d’enrobage.
    Risque pour la santé : des allergies.

     Gallate de propyle E310 : un antioxydant de synthèse.
    Risque pour la santé : problème au foie, hyperactivité, cancers, allergies, etc.

     Cire microcristalline E905 : issu du pétrole ou lignite, présent dans les chewing-gums et de nombreuses confiseries.
    Risque pour la santé : problème d’absorption de vitamines et de minéraux, problème au niveau des lymphes et du foie.

     Diméthylpolysiloxane E900 : huile de silicone anti-mousse.
    Risque pour la santé : problèmes au niveau du foie, des reins, cancers.

     Ponceau 4r E124 : c’est un colorant rouge.
    Risque pour la santé : de l’urticaire, asthme, hyperactivité, etc.

     Glycine E640 : support pour additif de synthèse qui peut remplacer le sel.
    Risque pour la santé : retard de croissance, augmentation du taux de mortalité.

     Ethyl matol E637 : cf maltol e636
    Risque pour la santé : voir maltol.

     Maltol E636 : exhausteur de goût.
    Risque pour la santé : des risques de destruction des globules rouges.

     Acide inosinique E630 : exhausteur de goût.
    Risque pour la santé : problème d’asthme, réactions cutanées, allergies, etc.

     Guanylate disodique E627 : exhausteur de goût pour stimuler l’appétit.
    Risque pour la santé : irritation des muqueuses, de l’asthme, etc.

     Glutamate monosodique E621 ou GMS : exhausteur de goût de synthèse très utilisé.
    Risque pour la santé : destruction des neurones.

     Silicate de magnésium E553a : un anti-agglomérant.
    Risque pour la santé : problèmes au niveau de la respiration.

     Talc E553b : un anti-agglomérant.
    Risque pour la santé : problème au niveau de la respiration.

     Silicate aluminosodique E554 : anti-agglomérant utilisé comme colorant.
    Risque pour la santé : alzheimer, problèmes au placenta.

     Acide glutamique E620 : additif très utilisé, pour remplacer le sel.
    Risque pour la santé : asthme, problème de sensibilité du dos et des bras, problème cardiovasculaires.

     Poly phosphates de calcium E544 : utilisé pour augmenter la masse des aliments, interdit en Australie.
    Risque pour la santé : allergies, problèmes de digestion.

     Gallate d’octyle E311 : un antioxydant de synthèse.
    Risque pour la santé : de l’urticaire, des allergies, problème concernant les hémoglobines, etc.

     Phosphates d’aluminium acide sodique E541 : utilisé dans les patisseries, présenté comme neurotoxique.
    Risque pour la santé : problèmes de reins, alzheimer, problèmes de coeur, etc.

     Sulfate d’aluminium E520 : un dérivé de l’aluminium.
    Risque pour la santé : nocif pour les reins, alzheimer

     Monostérate de sorbinate E491 : un anti-moussant utilisé comme colorant par exemple.
    Risque pour la santé : lésion(s) d’organe(s), diarrhées, etc.

     Sucroesters E473 : antioxydant, présent dans de la nourriture pour bébé.
    Risque pour la santé : problèmes de digestion et diarrhées.

     Céllulose microcristalline E460 : un épaississant.
    Risque pour la santé : cancérigène ou non (nombreux tests en contradiction)

     Polysorbate 20 E432 : support de synthèse utilisé dans les desserts.
    Risque pour la santé : problèmes de calculs rénaux, des tumeurs, allergies, etc.

     Edta E385 : un antioxydant, il est utilisé en médecine pour traiter un empoisonnements aux métaux lourds
    Risque pour la santé : problème de digestion, coagulation du sang, etc.

     Gélatine E441 : très utilisé dans les laitages et bonbons.
    Risque pour la santé : nombreuses allergies, asthme.

    D’autres additifs alimentaire à éviter  :

    E214, E235, E474, E472f, E542, E545, E555, E556, E628, E472e, E472d, E472c, E472b, E380, E284, E200, E180, E285, E472a, E629, E631, E632, E521, E522, E523, E525, E517, E518, E515, E513, E514, E512, E510, E508, E507, E469, E509, E496, E495, E492, E493, E477, E479b, E450a, E421, E430, E425, E320, E321, E154, E155, E102, E120, E123, etc.

    Cette liste n’est pas exhaustive, il existe d’autres additifs alimentaires qui sont dangereux pour le bien-être des personnes !


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  • LE DOC DU DIMANCHE

    ALUMINIUM, NOTRE POISON QUOTIDIEN

    Une étude anglaise a mesuré les taux d’aluminium des huit marques de lait infantile les plus vendues dans le pays.
    Sans le savoir, nous absorbons de plus en plus d’aluminium, pourtant toxique pour notre organisme. Quels sont les risques ? Valérie Rouvière mène l’enquête, auprès de scientifiques et de spécialistes, dans ce Doc du dimanche. 

    « Alerter les populations sur la toxicité de l’aluminium me paraît important. C’est un produit inutile. (…) Il n’apporte rien à l’organisme, si ce n’est des ennuis. » Président de Santé Environnement France, un réseau de 2 500 médecins français, le docteur Pierre Souvet s’alarme de voir cette substance chimique envahir notre quotidien. Extraite d’un minerai, la ­bauxite, l’alumine est présente dans une multitude de produits de consommation. Agent levant dans le pain, conservateur dans les charcuteries et les plats préparés, anti-agglomérant dans le sel, colorant dans les confiseries… l’aluminium se cache derrière les additifs et même dans le lait infantile. Il entre aussi dans la composition de cosmétiques — il facilite la pénétration des crèmes, durcit le vernis, blanchit les dents, bloque la transpiration — et les laboratoires pharmaceutiques l’utilisent comme adjuvant dans des médicaments et des vaccins. L’Autorité européenne de sécurité des aliments, qui a tiré la sonnette d’alarme il y a trois ans, conseille de ne pas consommer plus de 1 milligramme d’aluminium par semaine et par kilo de poids corporel. Mais comment éviter la surdose ? La quantité d’aluminium utilisée n’est jamais précisée sur les emballages et il n’existe aucune réglementation sur son utilisation. 
    Pourtant, les études sur la nocivité de l’aluminium se multiplient. Cette neurotoxine multiplierait par deux les risques de développer la maladie d’Alzheimer et l’hydroxyde d’aluminium présent dans les vaccins provoque chez certains une maladie grave : la myofasciite à macrophages. Neuropathologiste à l’hôpital universitaire de Créteil, le professeur Romain K. Gherardi pronostique : « Sur les métaux, on a des histoires qui se répètent. Ce qui est arrivé pour le plomb, le mercure et l’amiante arrivera aussi pour l’aluminium. » 
    Amandine Deroubaix 

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