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    Un petit rituel du matin

    E. Dietetique 235 infos


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  • 2012      224 p.   21,90 € 

       Entre l'état de bonne santé et la maladie, dont le stress peut être l'un des précurseurs, les médecines de terrain, telles la phytothérapie, l'homéopathie et l'oligothérapie, sont les seuls traitements qui, à ce stade, agissent rapidement et en profondeur. Elles aident l'organisme à revenir à l équilibre et apportent des réponses efficaces aux gênes occasionnées par le stress.

       Ce livre montre, d'une façon structurée et sécurisée, comment soigner les effets du stress par les plantes, les huiles essentielles, l'homéopathie, les oligoéléments, les vitamines et ce en évitant les risques de l'automédication.

        Des chapitres sont consacrés aux traitements de l'anxiété, de l'insomnie, de la mémoire, de la concentration, de la fatigue, mais aussi aux troubles cardiaques, digestifs ou autres, engendrés par un état de stress chronique.
    Le stress de l'enfant n'est pas oublié.

       Un livre indispensable pour contrer le stress en toute situation.
       Médecin homéopathe et acupuncteur, Bernard Chemouny exerce en région parisienne. Il est l'auteur de:
         -Guide de l'homéopathie,
        -Dictionnaire des médicaments et traitements homéopathiques
        -Guide de l'homéopathie pour l'enfant aux éditions Odile Jacob.

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  •    04.10.2013 : 208. Tous les jours, et sans même en avoir conscience, l’industrie alimentaire nous fait  avaler des substances plus dégoûtantes les unes que les autres, et dont l’origine risque d’en surprendre plus d’un.

    1) Des traces d’engrais - dans le pain : cachées sous la douce appellation scientifique d’ammonium sulfate, on peut trouver des traces d’engrais dans les baguettes et pains industriels, notamment ceux de la chaîne de restauration rapide Subway...

    2) Des glandes anales de castor - dans les bonbons : les sécrétions de glandes anales de castor, ou castoreum pour les intimes, entrent dans la composition des parfums et eau de cologne, mais aussi des bonbons... Elles réhaussent le goût de framboise des sucreries.

    3) De la graisse de boeuf - dans les biscuits. Nombre d’entre vous ne seront pas surpris d’apprendre que certaines marques agrémentent leurs biscuits ou barres chocolatées de graisse de boeuf. On zappe le goûter ?

    Qu'avez-vous mangé aujourd'hui?4) Des insectes écrasés- dans les colorants alimentaires rouges. L’idée de manger des insectes vous répugne? Et bien sachez que vous en avalez déjà une petite dizaine lorsque vous mangez des aliments qui contiennent de “l’acide carminique”. Certains industriels essaient même d'apposer une mention “colorant naturel” sur les produits dont les colorants sont issus d’insectes écrasés. Ça donne envie.

     La cochenille

    5) Du jus de coccinelle - pour le glaçage des bonbons. On a tous déja goûté aux bonbons de type skittles ou aux paillettes colorées comestibles utilisées pour décorer un gâteau... Leur glaçage solide à effet “laqué” est issu des sécrétions des femelles coccinelles, “gomme-laque” ou “shellac” dans le jargon scientifique.

    6) De la laine de brebis - dans les chewing gum. Le lanoline est une substance obtenue à partir de la purification et raffinage du suint, partie grasse de la laine. Elle se cache sous le nom de “gomme base” ou “gum base”. Un repas, un café... Une brosse à dent ?

    7) Des cheveux humains et des plumes de canard - dans le pain. La cystine ou la L-cysteine est un acide animé que l’on retrouve notamment dans les cheveux humains et les plumes de canard. Il n’est pas rare de retrouver la mention “L cystéine” sur l’étiquette des produits halal et kasher... Cette substance est aussi présente dans la plupart des pains industriels.

    8) Du goudron de houille - colorant pour bonbons roses. Bien que le goudron de houille soit classé 199ème par l’ONU dans la liste des substances dangereuses, les industriels continuent à l’utiliser comme colorant alimentaire, notamment pour les bonbons et autres sucreries auxquels on veut donner une couleur rouge ou rosée.

    9) De l’estomac de veau - dans le fromage. Un bon nombre de fromages contiennent de la présure, un coagulant naturel extrait du 4ème estomac de veau. Au Royaume-Uni, les consommateurs sont informés de la présence de présure dans le fromage pour aider les végétariens à choisir en toute connaissance de cause, mais dans le reste du monde, aucune indication n’est donnée à ce sujet. Vous n’avez plus qu’à essayer de deviner!

    10) Du sable - dans le chili. Votre chili a un goût de vacances ? Rien d’étonnant, puisque certaines marques utilisent de la silice, autrement dit du sable, comme anti-agglomérant.

    Alors, lesquelles de ces substances avez-vous ingérées aujourd’hui ?

    Rédaction : Justine Chrisment
    Source : Organicjar

    Remarque : Alors que les industrielles vendent des produits dont la composition est parfois douteuse, le consommateur doit rester vigilant en s'intéressant aux ingrédients qui les composent. Le but de cet article n'est pas de diaboliser certains composants que l'on retrouve dans les produits (qui parfois sont nécessaires), mais bien d'avertir et d'appeler à la réflexion. Arrêtez de vous tromper !
    Alors, une seule régle d'or : restez zélé face aux produits que vous achetez, aux promesses faites par le marketing, à l'origine des produits et à leurs réels bienfaits.  

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  • 2013   180 p.  19,90 €

        Les techniques indiquées dans ce livre sont le résultat des recherches et des expériences de l'auteur.Vous trouverez ici des méthodes souvent multimillénaires qui ont été améliorées avec le temps. Elles nous ont été transmises par les anciens Européens, par les Indiens, Chinois, Arabes, Amérindiens, Africains... Plusieurs de ces méthodes, comme l'usage de l'argile ou de la vapeur, sont universelles, qu'elles aient été découvertes par chaque peuple ou transmises d'une civilisation à une autre.
       À la lumière de l'histoire de la guérison, on peut estimer que des millions d'êtres humains les ont utilisées, peaufinées au cours de nombreux siècles. Il ne s'agit en aucun cas de conseils strictement médicaux, mais de propositions pour élargir les possibilités actuelles de notre santé.Le lecteur est invité à les considérer comme des suggestions de bien-être, des remèdes naturels ou complémentaires. La maladie relève de la médecine ; en revanche maintenir sa santé est de la responsabilité de chacun. Ce livre vous y aidera.
      
      Bernard Raquin, psychothérapeute et formateur, est l'auteur de nombreux livres sur la spiritualité et le développement personnel.
       Le site de Bernard Raquin : http://www.bernard-raquin.fr/

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    30.11.2013 : 228. Photo de Désintoxication.

      

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    Où trouver des antioxydents?


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  • Fromages, confitures, charcuteries… Parmi les aliments que nous mangeons tous les jours, certains majorent le risque de cancer du sein, de la prostate, du pancréas ou du côlon. Voici ceux à éviter… ou au moins à limiter !

    Camembert : mauvais pour la prostate !

    Les fromages affinés (camembert, roquefort, cantal...) consommés en trop grandes quantités, peuvent devenir néfastes pour les personnes de plus de 50 ans, en augmentant les risques de cancer de la prostate, du sein.

    Pourquoi : La forte teneur en graisses animales saturées présentes dans les fromages gras, qui serait en partie responsable.

    Consommation : Une portion de 40g par jour, pas plus.

    A savoir : « Il faut manger 3 produits laitiers par jour, mais en privilégiant les laitages demi-écrémés (lait, fromage blanc) et les yaourts natures qui apportent moins de 3% de MG », explique le Dr Béatrice de Reynal, nutritionniste 

    Confitures : des sucres qui favoriseraient le cancer

    Une étude publiée en 2006 a démontré qu’une consommation élevée de sucres (sirops, sodas, confitures…) augmentait le risque de cancer du pancréas (1). Une autre ayant suivi 5000 femmes a permis d’observer une augmentation de 12% du risque de cancer du sein quand on mange régulièrement des aliments sucrés (glaces, miel, chocolat). Pour le Dr Béatrice de Reynal « le sucre n’a jamais provoqué de cancer ». Selon la spécialiste, la faute porterait surtout sur le sirop de glucose-fructose. « Utilisé à la place du sucre dans de nombreux produits, allant du hamburger aux barres chocolatées, biscuits, viennoiseries industrielles, et autres boissons sucrées, ces sirops sont très perturbants pour le pancréas et le foie. Leur consommation quotidienne favorise le diabète, les maladies cardiovasculaires et la constitution de stocks de graisses, notamment de triglycérides. » Des facteurs aggravant le risque de cancer.

    Consommation : Mieux vaut éviter ces aliments. « Privilégiez les biscuits à la « cuillère » et certaines marques comme « Bonne Maman » qui utilisent du sucre de canne, des œufs frais, du beurre frais... » . D’une manière générale, n’abusez pas du sucre.

    (1)Larsson SC et al., Consumption of sugar and sugar-sweetened foods and the risk of pancreatic cancer in a prospective study. Am J Clin Nutr. 2006 Nov ; 84(5):1171-6.
    (2) Rapport paru dans Annals of Oncology (Octobre 2005 )

    Bœuf, porc et agneau augmenteraient le risque de cancer du côlon

    Selon une étude américaine en 2005, une grande consommation de viande notamment rouge (boeuf, agneau) mais aussi de porc et de veau peut augmenter le risque de cancer du côlon et du rectum.

    Pourquoi : La forte teneur en graisses animales saturées serait en partie responsable.

    Consommation : 1 fois par semaine. Préférez la volaille et le poisson.

    Attention : A la viande cuite au barbecue en contact avec les flammes qui libèrent des composés hautement cancérogènes (hydrocarbures aromatiques polycycliques...). 

    Saucisson : des conservateurs responsables de cancer

    Le saucisson (et toutes les charcuteries industrielles comme le jambon blanc, cru, le bacon, le lard) augmente les risques de cancer.


    Pourquoi :
    « L'effet cancer serait dû aux nitrates et aux nitrites utilisés comme conservateur (sel nitrité pour prévenir le développement de certaines bactéries), mais aussi comme colorant du jambon cuit ou des saucisses pour les rendre plus roses et plus appétissantes. Les nitrites sont transformés par la flore intestinale en produits cancérigènes », explique le Dr Béatrice de Reynal.

    Consommation : 1 fois par semaine. Préférez un jambon artisanal cuit au torchon ou un jambon cru juste séché sans nitrite (regardez les étiquettes).

    Et aussi : les produits de saurisserie (poisson séché) qui sont très salés, fumés et souvent nitrités. 

    Grillades au barbecue : des risques de cancer de la bouche

    Les viandes cuites au barbecue sont très toxiques et augmentent les risques de cancers du pancréas, de la prostate, voire de la bouche.

    Pourquoi : « Les aliments cuits à forte température et en contact avec les flammes libèrent des composés hautement cancérogènes (hydrocarbures aromatiques polycycliques...) », explique le Dr Béatrice de Reynal.

    Consommation : à éviter le plus possible. 

    Alcool : 11 000 décès par cancer

    Oesophage, larynx, bouche, pharynx, sein, rectum, côlon, foie... Les boissons alcoolisées toutes confondues sont responsables de près de 11 000 décès en France par cancer. Ce risque dépend de la dose consommée et non du type d'alcool.

    Pourquoi : « L'alcool est transformé dans l'organisme en acétaldéhyde, une molécule cancérogène, qui accroît les risques de cancer. Il agresse aussi directement la muqueuse et provoque des tumeurs localisées », explique le Dr Béatrice de Reynal.

    Consommation : 2 verres par jour chez l'homme et moins d'1 verre chez la femme* « et préférez les vins élevés en fût de chêne plutôt que ceux en cuve inox et qui n’ont donc pas les atouts antioxydants du bois. » Un verre d'alcool correspond à 3 cl de whisky, à 10 cl de vin, 25 cl de bière…

    * faites aussi de nombreux jours « sans »  

    Frites : une augmentation de cancer du rein

    La consommation d'aliments frits augmentent le risque de nombreux cancers, comme celui du rein, de l'estomac... « Les chips sont de loin les plus toxiques », fait remarquer le Dr Béatrice de Reynal. Parmi les autres aliments frits à risque : les frites, les nuggets, les beignets, les pommes de terres Dauphine...

    Pourquoi : Quand les glucides des féculents (pommes de terre, farine, riz, pâtes...) chauffent à très forte température avec de l'huile, cela entraîne la formation d'un composé cancérogène et toxique, l'acrylamide.

    Consommation : 1 aliment frit par semaine, maximum.

    A savoir : Les snacks comme les pop corn augmentent les risques de cancer. 

    Sources

    - Etude du Dr. Michael J. Thun et collègues, et du Dr Ann Chao de l'American Cancer Society à Atlanta, parue dans le Journal of the American Medical Association – 12 janvier 2005

    Remerciements au Dr Béatrice de Reynal, nutritionniste, directrice de l’agence Nutrimarketing, et auteur du blog « http://miammiam.mabulle.com/ »


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  •   Publié le 13 novembre 2013

    Lin, cameline, chanvre, colza : panorama des huiles qui contiennent plus d'Omega 3  (femininbio.com)

    Notre alimentation manque d'Oméga 3. Pour en consommer plus, privilégiez les huiles de première pression à froid à forte proportion en Oméga 3 comme l'huile de lin, l'huile de cameline, l'huile de chanvre, l'huile de colza encore l'huile de noix.

      
    Huile de Lin

    L’huile de Lin, de la famille botanique des Linacées, est une des plus riches en Oméga 3 avec une teneur supérieure à 50%. Cet acide gras est insuffisamment présent dans notre alimentation moderne, c’est pourquoi sa consommation est fortement recommandée. Elle agrémentera les assaisonnements de vos salades. Saveur fraîche, pointe noisetée. En Massages : elle apaise et cicatrise la peau. Micronutriments : Tocophérols antioxydants ≈ 400 mg/kg.

    Aujourd’hui, notre alimentation est déséquilibrée car elle est trop riche en apport Oméga 6 et trop pauvre en Oméga 3. En effet, plusieurs études alimentaires récemment réalisées mettent en relief ce déséquilibre : nous consommons 20 fois plus d’Oméga 6 que d’Oméga 3 d’où la nécessité d’augmenter les apports alimentaires en Oméga 3.

    Les scientifiques recommandent d’abaisser le rapport Oméga 6/Oméga 3 aux alentours de 5. Toutes ces huiles sont dites de 1ère pression à froid, c’est à dire que tout le processus d’extraction se fait sans aucun traitement chimique. L’extraction réalisée dans d’anciennes presses de 1960 est douce et lente. Tout est fait pour préserver les qualités nutritives et organoleptiques de la matière première.

    Huile de Lin

    Cette huile contient une forte proportion d’Oméga 3 (>50 %) participant au bon fonctionnement cardio-vasculaire.

    Micronutriments : Tocophérols antioxydants ≈ 400 mg/kg.

    L’huile de Lin, de la famille botanique des Linacées, est une des plus riches en Oméga 3 avec une teneur supérieure à 50%. Cet acide gras est insuffisamment présent dans notre alimentation moderne, c’est pourquoi sa consommation est fortement recommandée.

    Elle agrémentera les assaisonnements de vos salades. Saveur fraîche, pointe noisetée.

    • Crue exclusivement, en assaisonnement et sauce.

    • Massages : apaise et cicatrise la peau.

    Huile de Cameline

    La Cameline, Camelina Sativa, aussi appelé Lin batard ou Sésame d’Allemagne, est une plante annuelle de la famille des crucifères (variété Glabrata). La teneur en huile des graines varie de 30 à 41%.

    Conseil de dégustation : Caractérisée par l’odeur du chou frais, elle agrémentera les assaisonnements de vos salades. Elle est fortement déconseillée en cuisson.

    Bienfaits nutritionnels : L’huile de cameline a une forte teneur en Oméga 3 (33 à 40%). Elle contient également des Oméga 6 (18 à 25%). De plus, elle est aussi très stable grâce à sa teneur en vitamine E.

    Huile de Chanvre

    C’est donc une des rares huiles contenant 2 acides gras essentiels (AGE) que l’organisme ne peut synthétiser. Sa couleur vert émeraude, son odeur légèrement épicée et sa saveur rappelle l’huile de noisette. Issue d’une variété de graines spécialement sélectionnées ne contenant pas de substance psychotrope, cette huile est doublement concentrée en acides gras essentiels (Oméga 6 et Oméga 3). Ces Oméga 3 participent au bon fonctionnement cardiovasculaire. Saveur équilibrée rappelant la noix.

    Micronutriments :

    Contient des antioxydants naturels :

    Vitamine E : 5 à 15 mg/100g, Phénols ≈ 50 mg/kg, Contient du CoQ10 antioxydant ≥ 70 mg/ kg.

    • Crue exclusivement, en assaisonnement et sauce.

    • Massages : contient des gamma-tocophérol antioxydant, elle est très stable et présente des qualités anti-radicalaire.

    Huile de Noix

    Notre huile de Noix de France est le fruit de la rencontre entre l’Huilerie Emile Noël et une coopérative de producteurs du Sud-Ouest. Cette nouvelle filière instaure un partenariat durable avec les nuciculteurs et notre huilerie en partageant nos savoirs-faire respectifs tout en maintenant un tissu agricole local :

    • Culture par une quarantaine de producteurs de 2 variétés de noix : “La Franquette” à la saveur délicate et fine en bouche,

    “La Granjean du Périgord noir” au goût marqué de noix et à la pointe d’amertume,

    • Casse des noix, triage manuel et sélectif des cerneaux pour garantir une qualité d’huile optimum,

    • Pressage à froid des cerneaux de noix dans notre huilerie artisanale de Pont Saint Esprit.

    Notre objectif est de vous proposer une huile “premium”, française, avec des arômes de noix typiques et authentiques, fruitée, équilibrée et gourmande… et bonne pour la santé, grâce à l’apport naturel en Oméga 3, Oméga 6 et Oméga 9.

    Huile de Colza

    L’huile de colza apporte de façon équilibrée des Omégas 3 (8 %),6 et 9 ce qui en fait une huile nutritionnelle par excellence.Sa richesse en Oméga 3 participe au bon fonctionnement cardiovasculaire.

    Micronutriments : Vitamine E naturelle : 35 mg/100g, contient des gamma et delta-tocophérols antioxydants ≥ 600 mg/kg.

    Neutre en goût, l’huile de colza exalte les saveurs de vos préparations en rehaussant le goût des aliments.

    • Crue exclusivement, en assaisonnement et sauce.

    • Massages : contribue à la cicatrisation.


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  •   Poisson toxique : les recommandations pour continuer à manger du poisson   (femininbio.com)  08/11/2013

     
    Poisson toxique : les recommandations pour continuer à manger du poisson
    Peut-on continuer à manger du poisson ? Réponse dans Envoyé Spécial sur France 2
    Audrey Etner
    Curieuse de tout piquée d'écriture. Responsable édito @femininbio, blogueuse empathique aimant raconter la vie des autres @parisbylight. 

    Suite au reportage diffusé dans Envoyé Spécial intitulé "Poissons, élevage en eaux troubles", peut-on continuer à manger du poisson sans risque pour la santé ? Les conseils de Nicolas Daniel, auteur de l'enquête réalisée pour France 2.

    Le poisson est bon pour la santé. Il est même l'un des symboles du "bien-manger" contrairement à la viande plutôt associée aux maladies cardio-vasculaire par certains professionnels de santé.

    Pourtant le poisson a changé, et sa chair aujourd'hui est bourrée de toxiques : farines animales, ethoxyquine, antibiotiques et pesticides en masse, pollution au mercure et aux PCB, traçabilité aussi opaque que la viande de cheval/boeuf, espèces moins chères substituées etc...

    Voici les conseils donnée par Nicolas Daniel sur le plateau d'Envoyé Spécial pour continuer à consommer du poisson si on le souhaite :

    • Eviter les poissons gras
    • Eviter les trop gros poissons, en bout de chaine alimentaire ils accumulent les produits toxiques
    • Se renseigner sur l'origine des poissons que l'on mange (pêche ou élevage et connaître la zone de pêche)

    Attention aussi au risque de pollution génétique : un saumon d'élevage n'a pas le même patrimoine génétique qu'un saumon sauvage. Il peut s'échapper de l'élevage et se reproduire avec un saumon sauvage, modifiant alors le patrimoine génétique du saumon.


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  •  Huiles essentielles pour petits bobos

        Plus de 150 huiles essentielles sont disponibles dans les rayons des magasins bio et parapharmacies. Tea-tree, lavande, mandarine… les huiles essentielles s'appliquent à tout, ou presque ! Notre spécialiste Sylvie Hampikian vous propose un guide pour bien les utiliser.
     

    Vive les huiles essentielles!  L’aromathérapie remporte un succès grandissant, avec une offre pléthorique qui ne cesse de s’enrichir : plus de 150 huiles essentielles sont désormais proposées au grand public. Seulement voilà : quand on débute, comment s’y retrouver ? L’usage et le choix des huiles essentielles reste délicat et il ne faut pas faire d’erreur à l’achat. Le mieux est d’opter pour des valeurs sûres : voici une sélection de treize huiles essentielles utiles au quotidien et convenant à tous. Toutes ou presque sont d’un prix abordable (le prix moyen pour 10 ml est indiqué pour chacune).

    Les polyvalentes

    Certaines huiles sont des antiseptiques à large spectre (bactéries, virus, champignons), cicatrisantes et calmantes cutanées. Adaptées à tous les soins de la peau (boutons, petites plaies, mycoses, irritations, dermites...), elles ont en outre certaines actions plus spécifiques.

    • Lavande fine (lavande vraie, Lavandula angustifolia), 6€ : c’est vraiment l’huile essentielle “à tout faire”. Outre sa douceur et son efficacité dans les soins de la peau, elle soulage crampes et contractures. Son parfum frais est relaxant.
    • Lavandin super (Lavandula latifolia x angustifolia, Lavandula burnatii), 3€ : moins subtile que la lavande fine, elle a des propriétés très similaires. Elle est efficace sur les mycoses.
    • Palmarosa (Cymbopogon martinii var motia), 3€ : outre ses propriétés cutanées, elle est déodorante (une goutte sous chaque aisselle). Utile pour masser les jambes lourdes, enflées. Son parfum très agréable évoque la rose.
    • Géranium rosat (géranium d’Egypte, Pelar-gonium graveolens, Pelargonum x Asperum), 5€ : très polyvalente, elle a les mêmes propriétés que le palmarosa. De plus, elle est répulsive… pour les moustiques !

    Les anti-microbes

    Ce sont des armes absolues contre les petites plaies, panaris, boutons d’herpès ou d’acné, mycoses. A appliquer pures (1 à 2 gouttes).

    • Tea-tree (arbre à thé, mélaleuque, Melaleuca alternifolia), 4 € : indispensable en cas d’acné, mais aussi pour tous les petits bobos, notamment les mycoses entre les doigts de pieds.
    • Ravensare aromatique (Ravensara aromatica), 5€ : excellent antiseptique cutané. Utile aussi en inhalation, car elle est antivirale (rhume, grippe).

    Les anti-rhumes

    Antimicrobiennes, elles décongestionnent le nez et les voies respiratoires. On les emploie en inhalation, à petite dose (1 à 2 gouttes dans un bol d’eau bouillante).

    • Eucalyptus radié (Eucalyptus radiata), 3€ : défatigante, c’est un bon stimulant général et pour le système immunitaire.
    • Niaouli (Melaleuca quinquenervia), 3€ : efficace, mais irritante. Respectez la dose !

    Les anti-douleurs

    Très utiles en massage contre les douleurs corporelles (articulations, crampes, courbatures).

    • Genévrier (Juniperus communis), 5€ : efficace contre les jambes lourdes ou enflées.
    • Gaulthérie couchée (wintergreen, Gaultheria procubens), 3€ : un antalgique très efficace.

    Huile de massage polyvalente

    Besoin de masser des zones douloureuses ou de calmer des irritations ? Versez deux cuillers à soupe d’huile d’olive bio dans un flacon. Ajoutez 18 gouttes de l’huile essentielle choisie et agitez pour mélanger. Votre huile de massage (à 3 %) est prête !

    Les spéciales casse-cou !

    Elles sont beaucoup plus chères, mais fort utiles dans certaines circonstances.

    • Ciste ladanifère (Cistus ladaniferus), 30€ : elle arrête très efficacement les saignements. Elle peut s’utiliser pure, à raison de quelques gouttes, mais jamais sur une plaie étendue.
    • Immortelle d’Italie (hélichryse d’Italie, Helychrysum italicum), 40€ : c’est l’arme absolue contre les hématomes (bleus, bosses). Appliquez-la sur la lésion, jamais sur une plaie ouverte ; elle aggraverait le saignement.
    • Camomille romaine (camomille noble, Chamaemelum nobile), 20€ : calmante, elle est extrêmement efficace contre toutes les irritations et douleurs cutanées.
    Sylvie Hampikian, expert en pharmaco-toxicologie

    Des précautions à ne jamais oublier

    Les huiles essentielles proposées offrent une bonne sécurité d’emploi, mais il est toujours bon de rappeler ces précautions de base :

    • sauf quelques exceptions, employez-les toujours diluées (dans de l’huile d’olive ou de tournesol bio, par exemple, ou dans une base neutre que l’on trouve chez les distributeurs d’huiles essentielles)  ;
    • ne les employez pas chez les bébés et les enfants (jusqu’à 5 ans), ni chez les femmes enceintes ou allaitant  ;
    • utilisez-les avec prudence chez les personnes réactives, sujettes aux allergies, asthmatiques :
    • choisissez des huiles essentielles labellisées bio.

      publié par Terre Vivante


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