•  Si vous ne consommez pas de curcuma, il est temps de vous y mettre

    Consommez-vous du curcuma? Le curcuma est une épice dont les bienfaits pour la santé sont nombreux: il est temps de vous y mettre.

    Le curcuma fait partie de ces aliments que l'on qualifie de "remède naturel". En effet, une alimentation saine privilégie des ingrédients qui sont naturellement bons pour la santé et dont la composition nous aide à prévenir les maladies occidentales.

    Le curcuma possède des bienfaits qu'il serait dommage de ne pas profiter.

    Qu'est-ce que le curcuma?

    Le curcuma est une épice de la famille du gingembre (hé oui!) qui pousse facilement dans les pays d'Asie du Sud (avec un climat toujours très doux et beaucoup de pluie).

    C'est le rhizome que l'on récolte et qui peut se manger frais.

    Néanmoins, dans les pays occidentaux, c'est plutôt de la poudre de curcuma que nous consommons. Cette poudre est obtenue après avoir fait bouillit le rhizome, puis l'avoir fait sécher au four. Ensuite, il suffit de le moudre pour obtenir cette épice jaune-orange, si belle et si parfumée.

    Pourquoi consommer du curcuma?

    Aujourd'hui, nous trouvons du curcuma dans n'importe quel magasin, et c'est tant mieux!

    Le curcuma est un antiseptique et un antibactérien naturels. Il est utile à la fois à la consommation, mais aussi en cataplasme, par exemple pour soigner une coupure qui s'infecte ou bien une brûlure.

    Le curcuma est aussi un puissant anti-inflammatoire. Beaucoup de personnes l'utilisent à la place des médicaments traditionnels anti inflammatoires et constatent que cela marche tout aussi bien... sans effet secondaire.

    Troubles digestifs, problèmes de foie ou difficultés à digérer, le curcuma peut vous aider. certaines études arguent même que le curcuma est un bon moyen (en combinaison avec d'autres) de prévenir le risque cancer.

    Dans quel type de plat mettre du curcuma?

    Le curcuma n'est pas une épice forte, elle donne un léger goût et une légère coloration aux plats. Si beaucoup de curry ont cette couleur orangée, c'est parce que dans la cuisine traditionnelle indienne, on l'utilise abondamment.

    Dans le couscous, dans les poêlées de légumes, avec des viandes et poissons, dans les sauces vinaigrettes, en soupe, dans les quiches, les cakes, en curry... En fait, il n'y a pas de limite à utiliser le curcuma.

    Quand vous faites la cuisine, prenez l'habitude d'en mettre quelques pincées: c'est toujours cela de pris pour le goût et la santé... Un peu comme l'ail ou d'autres remèdes naturels alimentaires.

    Il est probablement inutile de dire que dans la cuisine au wok, le curcuma a plus que sa place!

    Bien entendu, il y a aussi la solution de boire des tisanes à base de curcuma, une solution idéale pour aider à une bonne digestion.

    Bon à savoir

    Savez-vous que le curcuma est un colorant naturel très utilisé dans l'industrie alimentaire?

    De nombreuses personnes sont contre les colorants, sans savoir exactement ce que c'est. Parfois, un colorant peut être naturel et a simplement pour but - comme son nom l'indique) - de donner de la couleur à quelque chose.

    Le code du colorant du curcuma est le E100. Bien entendu, cela ne dit pas si ce curcuma a été traité ou non, s'il est produit de façon équitable ou non... ce qui est une autre affaire...


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    Cette semaine, j’ai regardé le monde avec les yeux de l’amour  

    Vinvin  Scénariste, Humeuriste, Curateur. (publié sur Rue 89)
    Publié le 29/03/2014

    Cette semaine j’ai regardé le monde avec les yeux de l’amour.

    L’amour de la vie, de ces parfums de printemps qui s’immiscent dans nos sens comme la vigne vierge tourbillonnant sous les charpentes.

    J’ai eu envie de poésie et du gazouillis des oiseaux. J’ai écouté cet accent de plaisir qu’ont les Français bavards et rigolards à l’heure des conversations sur la place du marché, sous le soleil aux teintes anisées.

    J’ai même cru voir Jacques Tati qui passait non loin en vélo. Ça sentait bon la Provence, la Bretagne, la Corse et le Pays Basque. Du béret en veux-tu en voilà, des baguettes, du saucisson, des crevettes grises sur une tartine de pain beurrée salée, un p’tit muscadet, quelque fromage odorant, du piment d’Espelette, un air de bal musette.

    Une atmosphère de XXe siècle

    J’ai humé comme une atmosphère de XXe siècle, une 2CV qui déboule, quelques clochers d’églises où des girouettes rouillées n’indiquent que ce qu’elles veulent. Ça fleurait bon la France de toujours...

    Et puis soudain, j’ai senti comme un parfum d’épice. Je connaissais cette odeur mais son nom m’échappait. Etait-ce du safran, du paprika ou de la coriandre ? Je ne saurais le dire avec certitude.

    Les voix autour de moi parlaient fort ; ce n’était pas aussi chantant que l’accent du sud-est, pas aussi profond que celui du sud-ouest, en fait ça venait de plus bas, ou de plus loin.

    C’était de l’arabe. C’est compliqué à écouter l’arabe. Quand on n’y comprend rien, l’arabe ça sonne comme une mauvaise nouvelle. Comme un reportage de guerre au journal de 20 heures.

    L’arabe, ça fait quarante ans qu’on me l’emballe dans du terrorisme, des cris de douleur de veuves en colère ou du trafic de shit à la Courneuve.

    Quarante ans qu’on me présente l’arabe comme un corps étranger et dangereux. Qu’on me le gueule maladroitement au lieu de me le chanter. Qu’on me le décrit comme un cri de guerre au lieu de me le dessiner.

    A la télé, l’arabe est un détonateur

    A bien regarder ma télévision, l’arabe ce n’est pas une langue, c’est un détonateur pour faire péter de la dynamite dans des bus...

    Pourtant, parlé avec tendresse et amitié, juste normalement, c’est très joli, l’arabe. C’est aussi joli que du polonais, du sénégalais ou de l’italien. Il suffit d’être bien disposé et ça passe tout seul, comme un conte pour enfants !

    Bien sûr, cela demande un effort, il faut être ouvert, curieux, humble ! Pire encore, il faut être dans le respect. Je sais c’est dingue. Quand vous mettez de côté vos instincts tribaux et bas du Front, alors miraculeusement les accents étrangers, les voix un peu fortes et les parfums d’épices viennent s’immiscer avec malice et bonheur sur la place du marché.

    Ils enrichissent la couleur des conversations, ils donnent du piment à l’Histoire, ils renouvellent le plaisir de se regarder humainement. Gentiment.


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  • La Lettre du Professeur Joyeux est un service d'information indépendant sur la santé, spécialisé dans la prévention des maladies auprès du grand public et des familles. Vous pouvez vous y abonner en allant sur le site du Professeur Joyeux.

    A propos du jeûne en cancérologie

    Beaucoup de personnes ont vu une ou plusieurs émissions audiovisuelles tendant à démontrer que le jeûne pourrait être utile et même nécessaire pour réduire nombre de maladies de civilisation et même mieux encore en cancérologie, pour supporter les méfaits des chimiothérapies. Tout n’est pas faux dans ce qui est proposé.

    Nous même avons pu visionner les 56’11'' de l’excellente émission sur le thème « Le jeûne, une nouvelle thérapie ? » proposée par Arte France – Via Découvertes Production 2012 présentée par Sylvie Gilman et Thierry de Lestrade. Nous la recommandons au plus sceptique d’entre nos collègues.

    Résumons les faits.

    Le jeûne est utile pour réduire nombre de maladies de civilisations : obésité, diabète de type II, hypertension artérielle (HTA), maladies rhumatismales, maladies de peau telle qu’eczéma, psoriasis, mais aussi les maladies respiratoires (asthme, broncho-pneumopathies chroniques) et allergies de toute nature, addictions quelles qu’elles soient, tabac ou drogues, telles que marijuana, mais aussi stress de toute origine… Cela signifie a contrario que les mauvaises habitudes alimentaires telles que les publicités nous les proposent sont responsables de ces maladies selon les susceptibilités des personnes. C’est ce qu’on appelle l’influence de l’épigénétique.

    Distinguons bien la génétique de l’épigénétique. Pour bien nous faire comprendre, sachez que nous sommes pratiquement tous porteurs du ou des gènes qui peuvent induire un cancer du poumon, mais ce ou ces gènes ne s’expriment que chez le gros fumeur ou la personne soumise à un tabagisme passif. Idem pour la plupart des localisations cancéreuses. Les recherches les plus modernes en cancérologie démontrent l’importance des habitudes alimentaires, bonnes ou mauvaises pour empêcher ou aider au développement d’un cancer, dans tel ou tel tissu ou organe de notre corps.

    Comme l’indiquent nos collègues russes et allemands dans le film cité plus haut, le jeûne peut aussi être très utile pour réduire les troubles récurrents de certaines maladies psychiatriques. Il devrait être systématiquement proposé aux patients, sous surveillance médicale, mais pour cela, il faudrait former les psychiatres aux bienfaits des changements des habitudes alimentaires. Cela est aussi vrai pour la plupart des spécialités médicales, de la pédiatrie à la gériatrie, en passant par la cardiologie, la pneumologie, la rhumatologie, la gynécologie, la chirurgie, la neurologie... bref toutes les spécialités médicales gagneraient à s'ouvrir à la thérapie par le jeûne.

    Nous en sommes loin, mais il ne faut pas se décourager. Ce sont les patients eux-mêmes qui l’apprennent à leur médecin ou du moins qui le sensibilisent.

    Il est certain que le jeûne proposé tant dans les centres de soin en Russie qu’en Allemagne à l’Institut Büchinger ou à l’hôpital de la Charité à Berlin, est certainement utile sur une à 3 semaines, pour retrouver la santé. C’est ce que certains appellent la Sanogenèse.

    Un jeûne total

    Evidemment, il s’agit d’un jeûne total, à l’eau pure, qui consiste donc seulement à boire et à ne pas s’alimenter pendant tout le temps du jeûne, tout en étant surveillé médicalement.

    Le corps puise alors sur ses réserves en sucres, présentes surtout dans le foie et un peu dans les muscles. Elles sont épuisées en deux à quatre jours. Ensuite, le corps prend sur ses réserves en graisses, lesquelles doivent être transformées en corps cétoniques pour parvenir au système nerveux central (encéphale, cervelet et moelle épinière) - qui a besoin d’énergie pour fonctionner.

    Ainsi le 4ème jour peut être difficile à passer du fait du « cétonisme », ou « crise d’acidose » responsable de faiblesse, de nausées et de migraines. Il faut connaître ce cap délicat pour avoir le courage et la persévérance de continuer.

    Trois mois de réserve dans nos tissus adipeux

    Nos réserves en graisse qui constituent le tissu adipeux ou graisseux sont sous la peau, mais surtout dans l’abdomen, dites graisses viscérales. Elles peuvent nous permettre de tenir près de 3 mois, évidemment en maigrissant alors de façon très importante.

    Si le jeûneur persévère au delà de 3 ou 4 jours, il entre alors dans une phase légèrement euphorique, sédative, car il a passé le cap et une sorte d’appétit intellectuel et même spirituel apparaît quelle que soit la croyance. C’est l’effet mental très positif du jeûne. Il faut associer toujours à cette restriction alimentaire totale, une activité physique quotidienne au grand air si possible, donc la réaliser en dehors de son milieu de vie habituel, sans éviter la surveillance médicale pour les plus fragiles.

    Ce type de jeûne exige donc d’être suivi médicalement par un coach, nutritionniste ou médecin spécialiste. C’est pour cette raison qu’il doit avoir lieu en centre spécialisé.

    Il est certain qu’il est le moyen le plus naturel pour réduire son surpoids, son hypertension artérielle, ses besoins en médicaments hypoglycémiants quand on est diabétique de type II et les antalgiques ou anti-inflammatoires dont sont gavés la plupart de personnes souffrant de rhumatismes, d’allergies, d’asthme…

    Le jeûne pour mieux supporter les chimiothérapies ?

    Les études présentées par nos collègues de Los Angeles du Norris Cancer Hospital, réalisées sur de petits animaux par le Pr Valter Longo sont particulièrement intéressantes. Plusieurs fois renouvelées, elles démontrent et confirment que la restriction calorique majeure chez les animaux soumis à une chimiothérapie leur permet de mieux supporter les traitements, tandis que le groupe qui est nourri normalement va beaucoup plus mal. Ces travaux ont besoin d’être analysés d’une manière plus scientifique avant d’être proposés en cancérologie au quotidien des nombreux patients que nous rencontrons.

    En effet, la cellule cancéreuse et plus largement le tissu ou la tumeur cancéreuse doivent être considérés comme des voleurs des meilleurs nutriments. Par exemple, si vous consommez de la vitamine C à fortes doses, achetée chez votre pharmacien, et si vous en consommez aussi dans les fruits et les légumes frais, la tumeur prendra en priorité la « bonne vitamine C » , celle des fruits et des légumes, et vous laissera celle du pharmacien qui n’est biodisponible qu’à 50%, car vous en éliminez la moitié dans les urines.

    Voilà pourquoi nous sommes très prudents avec le jeûne thérapeutique pour mieux supporter les chimiothérapies.

    En cancérologie, le « jeûne partiel » s’impose et ne peut qu’être bénéfique.

    Il est d’abord rendu obligatoire car les drogues de la chimiothérapie ou des thérapies ciblées ont toutes des effets sur le tube digestif et l’organisme en général. Les nausées sont tellement classiques que des traitements spécifiques sont ajoutés à la perfusion médicamenteuse ou aux médicaments pris par voie orale. Ils évitent plus les vomissements que les nausées.

    De plus, nombre de drogues de chimiothérapies tuent les cellules intestinales dont la durée de vie n’excède pas 5 jours. D'où une abrasion du tapis de la couche des cellules de l’intestin, les entérocytes, à l’origine de malabsorption intestinale avec sa triade diarrhée, amaigrissement et fatigue généralisée.

    Il s’agit donc de jeûner de tous les aliments qui peuvent réduire nos défenses immunitaires. Il s’agit des boissons contenant des faux sucres de type aspartame, le pain blanc (souvent blanchi) qui se comporte comme un excès de sucre et qui augmente la porosité intestinale - par le gluten raffiné et rajouté à l’excès, et les levures chimiques. Cette porosité laisse passer des molécules plus ou moins toxiques, à l’origine d’inflammations qui vont se développer sur les zones fragiles (cancéreuses de l’organisme).

    Il faut aussi jeûner de produits laitiers de vache, lait UHT, yaourts, fromages à pâte non cuite, crèmes, glaces… Ils apportent trop de graisses et de sucres (lactose) mais aussi du calcium en excès (4 fois trop) et des facteurs de croissance surtout destinés naturellement à un animal, le veau. N’oublions pas que le veau prend en une année 365 kg après sa naissance, tandis que le petit humain ne prend que 5 kg dans la même année qui suit sa naissance.

    Voilà donc ce que l’on peut conseiller aux patients atteints de cancer en ajoutant des boissons abondantes (au moins 2 litres par jour d’eau sans soda, coca ou autres boissons dites « énergisantes »), afin d’éliminer les métabolites des drogues inutiles à notre santé et même toxiques pour les cellules normales.

    Nous verrons dans une autre lettre, qu’il faut bien distinguer et comprendre les modes d’action des chimiothérapies classiques. Elles apportent à l’organisme des drogues antimitotiques destinées à « tuer » toutes les cellules en cours de division, les cellules cancéreuses et les cellules normales.

    On comprend mieux ainsi l’intérêt de la mise au point et de l’utilisation des thérapies « ciblées » qui ciblent le tissu cancéreux en lui apportant au plus près des drogues anti-facteurs de croissance, anti-angiogéniques (contre le développement des vaisseaux sanguins qui nourrissent la tumeur) ou des anticorps spécifiques, donc qui empêchent le tissu tumoral de se développer.

    Bien à vous,

    Professeur Henri Joyeux


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  •   Le Marché Citoyen et Colibris, un annuaire de plus de 8000 bons plans près de chez vous !
    Vous la connaissez sûrement, mais la carte s’étoffe tous les jours un peu plus ! Découvrez près de chez vous les produits bio, équitables et locaux, AMAP, éco-artisans, mode éthique, écoles alternatives, et bien d'autres choses.  lemarchecitoyen.net
    Un acteur manque ? Remplissez vous-même le formulaire, et faites-le apparaître !

         Jean-François a choisi de mettre à l'honneur deux beaux exemples :

                  La Parent'Aise Alter-Native (Saint James 50240)

        Cette association propose des ateliers de massages bébés, de danse avec bébés, de communication gestuelle, d'éveil Montessori pour les enfants, de création de jouets de récupérations... Découvrez aussi des formations à la communication Faber et Mazlish, ainsi que des temps de partage sur l'allaitement, l'éducation bienveillante et non-violente. Pour amener les enfants vers l'autonomie...   Contact:

    laparentaise.alternative@gmail.com     téléphoner au06-08-02-04-07

    Par courrier à:  Association La Parent'Aise AlterNative

    Communauté de Communes

    18 rue haie de terre              50240 Saint James

                                                           Sur notre page Facebook :  La Parent'Aise Alter-Nat

        Alter'éco 30 (Vauvert, 30600)
    L'association Alter'éco 30 conçoit et diffuse des techniques et outils pour l'autonomie appliquée, communique de l'information en accès libre, organise des stages de formation et propose un accompagnement aux porteurs de projets. Des cercles de compétences permettent d'avancer dans les domaines de l'agro-écologie, l'auto-écoconstruction, l'énergie, l'éducation, les dynamiques collectives...
      Alter'éco 30 se situe à Vauvert, en "Petite Camargue", sur deux hectares qui accueillent une activité agricole d'élevage, un fournil, une maison éco-rénovée, une coopérative de produits bio et locaux auto-gérée, une salle de classe en pédagogie alternative, et différentes activités que vous pourrez découvrir sur leur site :   

       www.altereco30.com


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  •   L'Europe autorise l'aspartame et interdit la cannelle

    Chère lectrice, cher lecteur,

    L'Union Européenne déclare que l'aspartame est inoffensif [1]. Vous pouvez en consommer autant que vous voulez. Par contre, elle veut fortement limiter la quantité de cannelle autorisée. Les habitants des pays d'Europe centrale et du Nord qui ont toutes sortes de pâtisseries traditionnelles à la cannelle vont devoir y renoncer.

    L'association des boulangers du Danemark a annoncé la fin du « rouleau à la cannelle », qui était presque un symbole national [2].

    Reste-t-il à l'Union Européenne la moindre crédibilité, après cela ?

    La cannelle est une bonne épice

    Toutes les épices ne sont pas bonnes pour la santé, mais la cannelle fait partie de celles qu'il faut ajouter le plus souvent possible dans sa cuisine.

    La première raison est que son goût est vraiment excellent : elle a une saveur chaude et envoûtante, un goût très doux et une odeur parfumée qui s'accorde aussi bien aux plats sucrés qu'à de nombreux plats salés.

    Gâteaux au chocolat, salades de fruits, crèmes-desserts tout comme vin chaud, thé, tisanes et de nombreuses viandes en sauce gagnent énormément à être agrémentés de cannelle.

    Le saviez-vous?
    L'aspartame a été interdit aux États-Unis

    L'aspartame a été découvert en 1965 par la société Searle.

    En 1974, la FDA, agence de sécurité sanitaire américaine émet des doutes sur l'innocuité de l'aspartame.

    En 1979, sa commercialisation est suspendue après la découverte d'un effet carcinogène.

    En 1981, Donald Rumsfeld, président de la société Searle intègre le gouvernement. Il fait alors nommer un nouveau président à la tête de la FDA, l'aspartame retrouve le chemin des supermarchés et le succès qu'on lui connait jusqu'à aujourd'hui... en dépit de votre santé.

    Retrouvez votre dossier complet sur l'aspartame dans le numéro du mois de mars d'Alternatif Bien-Être.

    De nombreux bienfaits pour la santé

    Ajouter de la cannelle aux plats sucrés est une bonne idée car plusieurs études chez l’animal et chez l’homme indiquent que la cannelle serait efficace contre le diabète de type 2 ; elle ferait baisser la glycémie en rendant plus sensible à l’insuline. Ces recherches préliminaires montrent que c’est précisément l’un des constituants de la cannelle, le methy-hydroxychalcone, qui améliorerait la sensibilité de l’organisme à l’insuline. De plus, la cannelle est antiseptique, antivirale et anti-fatigue. Elle détruit de nombreuses bactéries pathogènes in vitro. Elle est donc un antiseptique polyvalent, anti-infectieux et antibactérien.

    En outre, la cannelle réchauffe le corps en cas de refroidissement, en stimulant la circulation sanguine. Ce qui explique qu’elle soit parfois utilisée en infusion pour combattre un rhume, une grippe ou une bronchite.

    Elle nous aide à digérer. En effet, les fibres constituent plus de la moitié du poids de la cannelle moulue. Ainsi, une portion aussi petite que 2 g de cannelle renferme 1,3 g de fibres. Raison de plus pour en ajouter dans les pâtisseries à base de farine blanche.

    Pas d'effets négatifs observables

    « Une personne normale devrait manger tellement de pâtisseries à la cannelle pour en souffrir, qu'elle mourrait certainement d'obésité avant de ressentir les effets secondaires de la cannelle », a déclaré le député européen Paul Nuttall, opposé à cette nouvelle réglementation imbécile.

    On ne peut qu'être d'accord avec lui : s'il y a lieu de vouloir diminuer la consommation de pâtisseries à la cannelle, c'est à cause du sucre et des céréales raffinées qui en font des bombes à glycémie, non à cause de la cannelle !

    Aucun effet secondaire négatif de la cannelle n'a jamais été remarqué dans les populations asiatiques, qui en consomment pourtant environ 10 fois plus que les Européens, notamment avec le curry.

    Un bon point pour l'Europe

    Cette législation absurde pourrait toutefois avoir un effet positif : rappeler qu'économiser sur la nourriture n'est en général pas une bonne idée (surtout si c'est pour dépenser plus en gadgets électroniques et vidéos).

    A l'origine de cette initiative européenne contre la cannelle, il y a une étude américaine et saoudienne de 2013 qui a révélé que la cannelle utilisée par les industriels peut présenter un risque pour le foie [3].

    En effet, il y a deux sortes de cannelle : la vraie cannelle (cinnamom verum) qui est chère et qui vient de Ceylan, des Seychelles et de Madagascar. Cette cannelle est aussi la meilleure au goût, et elle n'est pas dangereuse du tout.

    A cause de son coût, elle est malheureusement remplacée en général dans les pâtisseries et sodas industriels par de la cannelle « cassia », qui contient 63 fois plus de coumarine, la substance potentiellement dangereuse pour le foie. 

    Apprenez à choisir la bonne cannelle

    Il est très difficile pour le consommateur de faire la différence entre la bonne et la mauvaise cannelle, quand vous l'achetez en poudre.

    En revanche, en bâton, la cannelle cassia (mauvaise) se reconnaît tout de suite : elle est brune et formée d'une seule grosse couche d'écorce enroulée.

    La bonne cannelle (cannelle de Ceylan) est jaune et les bâtons sont formés de fines couches enroulées.

    A votre santé !

    Jean-Marc Dupuis

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    Résistance : Libérez-vous des lobbies agro-alimentaires et pharmaceutiques grâce à Alternatif Bien-Être, le journal de référence de la santé naturelle, à découvrir sur le site "Santé Nature, Innovation" dans une vidéo.
    Attention danger : Vous avez au moins 3 chances sur 5 de mourir d’une « maladie du mode de vie » liée à l’alimentation, au manque d’activité ou au tabagisme. C’est le constat alarmant d’une étude de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Mais vous avez aussi 80% de chances d’éviter ces maladies voire de les guérir en adoptant certains réflexes simples et peut-être inconnus de votre médecin. Découvrez-les sans attendre sur le même site dans une vidéo.
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  •  Publié le 14 janvier 2014 sur fémininbio.com

    Diane 35 : retour du médicament anti-acné et solutions naturelles pour éviter de le prendre

    Diane 35 : retour du médicament anti-acné et solutions naturelles pour éviter de le prendre
     
    Audrey Etner
     Curieuse de tout piquée d'écriture. Responsable édito @femininbio, blogueuse empathique aimant raconter la vie des autres @parisbylight.

       En janvier 2013, l'Agence du médicament (ANSM) annonçait la suspension prochaine des ventes du Diane 35 suite aux décès par thrombose qui lui étaient imputés. Un an après, le médicament anti-acné utilisé comme pilule est de retour sur le marché. Voici pourquoi et comment on ne va pas le reprendre comme moyen de contraception.

       C'est officiellement annoncé par l'ANSM, le médicament anti-acné Diane 35 (et ses génériques minerva 35, holgyème, lumalia, evepar etc..) qui avait soulevé une grosse polémique il y a un an est remis sur le marché en France "avec restriction de l'indication, modification des contre-indications et renforcement des mises en garde". Pourtant, en 2013, l'ANSM le retirait des ventes parce que son rapport risque/bénéfice est défavorable dans le traitement de l'acné, sa principale indication !  

       Rappelons que le Diane 35, autorisé sur le marché depuis 1987 pour le traitement de l'acné était largement prescrit abusivement comme pilule contraceptive.

       Voilà qui relance la question de la contraception et des risques liés à la prise de n'importe quelle forme de contraception orale.

      "Sous Diane, le risque de thrombose est trois fois supérieur à la normale, de l’ordre de 3 à 4 sur 10.000. Il est plus élevé que pour les pilules de deuxième génération et même un peu plus, ou en tout cas du même ordre, que pour celles de la troisième", explique ainsi l’hématologue Jacqueline Conard dans les colonnes du JDD.

      Comme l'indiquait le Dr Bérengère Arnal dans une interview à notre magazine, la pilule a été, à tort, banalisée, et prescrite même sans réel besoin de contraception : empêcher des règles douloureuses, éviter l'acné, réguler la prise de poids etc...

    Quel moyen de contraception ?

      Le Dr Bérengère Arnal préconise le stérilet au cuivre, même pour les femmes sans enfants.

      Et aussi : les méthodes de contraception sans hormone, l'approche symptothermique

    Quelles solutions pour soigner l'acné ?

    • Acné adulte : comprendre pour mieux traiter par Nathalie Chenlong, esthéticienne
    • Comment soigner une peau acnéique ?
    • 11 solutions naturelles pour lutter contre l'acné : Dr Hauschka, Guayapi, Aroma-Zone, Lavera, Floressance...
    • Marie Eloy a testé pour vous le programme gratuit anti-acné Beauté Pure
    • Des recettes à faire soi-même : cataplasme argileux, lotion biphasée, recette parfumée aux HE

      Et aussi, l'acné et l'aromathérapie, l'acné et la phytothérapie...

    Quelles solutions contre les règles douloureuses ?

    • Connaitre et comprendre son cycle menstruel. Les clés d'une féminité acceptée avec Marie Touffet, thérapeute et accompagnante de la femme
    • 9 solutions naturelles pour limiter les douleurs de règles : compléments alimentaires, huiles essentielles, ayurveda, magnétothérapie
    • Des solutions grâce à la BioSanté, de Patrick Hoor

      Il existe de nombreuses solutions naturelles et qui ne présentent pas de risques pour la santé. Et vous, quel choix avez-vous fait ?

      Compléments d'informations sur femininbio.com

    (Lire les précautions avant d'utiliser les huiles essentielles)


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  •   La Lettre du Professeur Joyeux est un service d'information indépendant sur la santé, spécialisé dans la prévention des maladies auprès du grand public et des familles.

    Voici comment prévenir le cancer du sein

    Chère lectrice, cher lecteur,

    Prévenir n’importe quelle localisation cancéreuse n’est possible que si on en connaît toutes les causes. C’est vrai pour le cancer du sein. Cette localisation cancéreuse touchera en France, rien que cette année, près de 60 000 femmes en plus – malheureusement de plus en plus jeunes. Le cancer du sein est responsable de 11 500 décès par an.

    Même si nous savons bien traiter et guérir le cancer du sein, mieux vaut l’éviter, car les traitements sont lourds. Il s’agit de la chirurgie totalement ou partiellement mutilante au niveau du sein, de la radiothérapie sur la paroi thoracique et souvent l’aisselle. Il y a aussi des chimiothérapies de première, puis deuxième, troisième et « énième » ligne, responsables d’alopécie (perte de cheveux) et de nombreuses autres complications : problèmes cutanés (peau) ou perte de sensibilité aux extrémités des membres. Ces complications peuvent persister définitivement, sans parler de la stérilité souvent irréversible même chez des femmes jeunes.

    En plus, ce qu’on ne dit pas aux femmes, c’est que la guérison définitive du cancer du sein ne peut être signée que 27 ans après les premiers traitements. Entre temps, une récidive est toujours possible, mais elle est évitable si l’on élimine les causes premières, qu’il est donc capital d’identifier. Pour cela il faut bien les connaître, les reconnaître et les faire découvrir à chaque femme atteinte afin qu’elle en tienne le plus grand compte pour éviter au maximum une récidive.

    Les causes du cancer du sein sont multiples et parfaitement identifiées. Elles se surajoutent et leur importance varie d’une femme à l’autre selon la durée d’exposition à telle ou telle cause.

    Voici les principaux risques :

    1. Risque génétique

    Le risque génétique n’est présent que chez 5 à maximum 8 % des femmes atteintes de cancer du sein.

    Deux gènes sont en cause : BRCA 1 et BRCA 2.

    BR est le sigle qui signifie BREAST, en anglais SEIN ; CA est le sigle du mot CANCER. Le premier gène, BRCA 1, augmente de 80 % les risques d’avoir un cancer du sein entre 20 et 80 ans, d’autant plus que les autres risques sont associés, d’où l’importance de les connaître. BRCA 2 augmente les risques de cancer du sein de moitié par rapport au précédent et en plus augmente les risques de cancer des ovaires de façon significative [1].

    2. Risque causé par les hormones artificielles

    Le deuxième facteur de risque concerne la consommation d’hormones artificielles, parfois faussement dites « naturelles ». Ce facteur de risque concerne pratiquement toutes les femmes aujourd’hui. Les seules hormones naturelles sont celles fabriquées par les glandes hormonales, c'est-à-dire l’hypophyse, les ovaires, les surrénales, la thyroïde…

    Les hormones de la pilule contraceptive, quelle que soit leur génération, comme les hormones des traitements hormonaux de la ménopause, qu'ils associent ou non des estrogènes et des progestatifs, sont reconnues officiellement comme cancérigènes. Mais les laboratoires pharmaceutiques – qui ont trop à y gagner – ne le disent pas et formatent les médecins, spécialistes comme généralistes, dans le but de les tranquilliser. Les risques sont minimes, leur disent-ils, comparés aux avantages. C’est faux, et cela d’autant plus qu’existent des alternatives à ces prises hormonales qui évidemment rapportent moins d’argent et sont de ce fait le plus souvent ridiculisées ou considérées comme inefficaces.

    Les informations diffusées auprès du grand public sont encore plus mensongères. On lui dit et on lui répète sans cesse que la pilule contraceptive est sans danger. On lui parle même – suprême mensonge – de protection contre le cancer que craignent de plus en plus et à juste raison toutes les femmes. Plus les femmes ont peur, plus on les tranquillise en passant très largement par les journaux spécialisés, relayés fortement par les journaux pour le grand public.

    Ces informations fausses atteignent le milieu scolaire. Les livres de Science de la Vie et de la Terre en sont remplis et ceux qui enseignent cette discipline, ainsi que les infirmières scolaires, répètent ce qu’on leur inculque en plus dans toutes les publicités en ville ou dans les magazines féminins. Professeurs, éducateurs, infirmières et même les parents – les mères évidemment – ne savent la vérité que lorsqu’elles ont été touchées elles-mêmes par cette localisation cancéreuse. Trop tard !

    Ces informations fausses sont aussi largement diffusées dans les magazines people, ceux des jeunes, comme dans les centres de planning familial qui reçoivent en échantillons des laboratoires les boîtes de pilules qu’ils délivrent à la demande, sans le moindre questionnement, hors de tout avis parental, dès l’âge de 13 ans. L’objectif des laboratoires pharmaceutiques est que les jeunes filles commencent tôt et consomment longtemps. Leurs campagnes publicitaires marchent très bien, et sont reprises par les agences de l’Etat indirectement sponsorisées.

    L’Education nationale ne se doute pas de ce qui lui tombera sur la tête quand des familles l’accuseront, à juste titre, d’être responsable de cancer du sein chez des jeunes filles à peine sorties du système scolaire. Il est à parier que les distributions de pilules ne sont pas notées dans les établissements scolaires, je parle du jour de délivrance, de la marque de pilule et du nom de la personne (jeune élève) qui la reçoit. Ces lacunes d'information seront évidemment utilisées pour débouter les plaignants, et garantir l'impunité aux coupables, le jour où éclatera le scandale. Les associations de parents d’élèves sont aveuglées sur ces sujets. Elles savent surtout que leurs filles sont ainsi protégées des grossesses précoces et donc des IVG qui s’ensuivent. Là est l’essentiel, on ne veut pas voir plus loin.

    Les informations scientifiques sur ce sujet sont intégralement présentes dans notre livre « La pilule contraceptive – Dangers et Alternatives » écrit avec Dominique Vialard, journaliste scientifique de haut niveau. Il est à noter qu'aucun journal scientifique ou grand public à vocation médicale et de santé n’a osé parler de ce livre. Le sujet est trop dangereux. Ces journaux risqueraient de perdre de nombreuses pages de publicité, celles des laboratoires pharmaceutiques qui les font vivre, sans lesquelles ils mettraient la clé sous la porte. Avez-vous remarqué que la pilule Diane 35 a été d’abord retirée en France, face au scandale de santé et, quelques mois plus tard, elle revient avec l’accord de l’Europe ?!

    Soulignons qu’autour et après la ménopause, ce sont les THS (Traitement Hormonal Substitutif) ou THM (Traitement Hormonal de la Ménopause) qui augmentent le plus les risques de cancer du sein – jusqu’à 30 % , surtout quand ils sont prescrits jusqu’à 60 ans. Au moins pendant 10 ans, dit la publicité et répètent certains confrères médecins, très liés directement ou plus astucieusement indirectement aux labos. Ils font croire à un rajeunissement rêvé par toutes les femmes et même à la protection ou à la détection précoce du cancer du sein pour un meilleur pronostic. L’argumentaire est très bien monté, mais il est faux.

    Ces THS et/ou THM pourraient être remplacés, sans aggraver le trou gigantesque de la Sécurité sociale, par le changement des habitudes alimentaires et une simple phytothérapie bien adaptée au cas par cas.

    3. Risque causé par les excès alimentaires

    Le troisième facteur de risques concerne les excès alimentaires, responsables de surpoids et de gras qui se stocke dans les glandes mammaires. Le gras dans les seins est en effet authentiquement cancérigène. Ce gras provient des sucres en excès, du gras caché dans les viandes animales et les produits laitiers qui contiennent encore trop de facteurs de croissance [2].

    4. Risque causé par le tabac et les drogues

    Le quatrième facteur est lié directement au tabagisme et à toutes les drogues, de plus en plus consommées par les jeunes filles à l’âge scolaire.

    Le tabagisme est catastrophique chez les femmes, qui ont une capacité respiratoire de 30 à 50 % inférieure à celle des hommes et fument autant qu’eux.

    Le haschich qui se répand partout dans les lycées et jusque dans les collèges fait des ravages. Pas question de dire aux jeunes que la teneur en THC (TétraHydroCannabinol, la molécule toxique) est concentrée jusqu’à 20 à 30 % pour les rendre addicts plus vite. On leur laisse croire qu’il faut faire ses expériences et qu’il s’agit d’une plante verte, donc très écologique. Tabac et drogues ont toutes sans exception des effets immuno-dépresseurs qui ne peuvent que préparer le corps à des catastrophes ultérieures, quand elles vont s’associer aux autres facteurs de risques.

    5. Risque causé par le stress chronique

    Le cinquième concerne les stress chroniques, beaucoup plus importants à prendre en considération que les chocs psychologiques auxquels nous sommes tous plus ou moins soumis : perte d’un être cher, éclatement familial, traumatismes de toute nature, burn-out…

    C'est un risque important, mais un risque parmi d'autres (le cinquième). Je le précise car nombre de psychologues peu compétents en cancérologie diffusent l’idée que les stress chroniques ou aigus sont quasiment seuls responsables des cancers du sein. Ces informations sont d’ailleurs régulièrement reprises, plutôt de manière indirecte, par les laboratoires pharmaceutiques, ce qui leur permet de se déculpabiliser à bon compte et de continuer d’inonder la planète de leur contraception chimique cancérigène. Si les femmes savaient [3] !

    6. Autres risques

    Les autres risques sont :

    • l’absence d’activité physique souvent associée au surpoids. La femme dit qu’elle marche pour aller au travail et aller chercher enfants ou petits-enfants à l’école, mais il ne s’agit en aucun cas d’une activité physique qui soit réductrice des risques de cancer du sein ;

    • la pollution atmosphérique, les pesticides, insecticides…, les souffrances sociales en tout genre : précarité, monoparentalité des femmes ne profitant pas des dépistages et suivis…

    Un test en ligne gratuit pour évaluer votre risque

    Pour vous permettre d'évaluer précisément votre propre risque de cancer du sein, vous pouvez vous rendre sur la rubrique « Cancer-Risks » de notre blog www.professeur-joyeux.com. Vous pourrez, gratuitement, sans publicité, et sans être poussée à acheter quoi que ce soit, y évaluer votre risque. Ce test est conçu pour déterminer les risques de cancer du sein de n’importe quelle femme, quel que soit son âge. Nous avons présenté tous les risques les affectant d’un coefficient positif d’augmentation ou négatif de réduction de risques.

    Remplir ce questionnaire demande moins de 10 minutes et permet à toute femme de savoir où elle en est et quels sont les efforts qu’elle doit réaliser pour réduire sans tarder ses propres risques. Ce test est évidemment renouvelable autant de fois que nécessaire et toujours gratuitement.

    Faites profiter votre entourage de ce message

    Vous avez lu, n’hésitez pas à relire, à diffuser à toutes vos amies. Vous pouvez aussi offrir cette lettre à votre gynécologue et à votre généraliste, même si je sais bien qu'elle a de grandes chances de finir rapidement à la poubelle, – avec une moue ou une explication du style « il est contre, ce n’est pas démontré » – sauf si votre gynécologue ou généraliste est homéopathe, ou si malheureusement elle sait elle-même en son corps de quoi il s’agit.

    Mais elle contient tout ce que les femmes jeunes ou moins jeunes, toutes les mères de famille devraient savoir.

    Bien à vous,

    Professeur Henri Joyeux

    PS : À noter que nous avons aussi publié un gros travail au CESE (Conseil Economique Social et Environnemental, dont je suis membre), en 2013, « Femmes et précarité » à la Délégation aux droits des femmes et à l’égalité, réalisé avec notre collègue Evelyne Duhamel, où les risques santé sont analysés et même chiffrés. Ce rapport est disponible ici.
                        Sources :

    [1] Tous les pourcentages de risque sont explicités dans le livre écrit avec mon excellente collègue gynécologue de Bordeaux, le Docteur Bérengère Arnal : « Comment enrayer l’épidémie des cancers du sein et des récidives », Editons du Rocher, 2013.

    [2] Toutes ces informations sont analysées en détail dans notre livre « Changez d’alimentation » paru pour sa 7e édition fin 2013 (Editions du Rocher).

    [3] Nous avons largement traité ce sujet dans notre petit livre à la portée de toutes les femmes « Stress et cancer du sein » Editions du Rocher, 2012.

    [4] Ces risques sont traités dans nos livres sur la prévention des cancers du sein : « Comment enrayer l’Epidémie des cancers du sein et des récidives », L'oeil F.x. De Guibert, 2010


    Les informations de cette lettre d'information sont publiées à titre purement informatif et ne peuvent être considérées comme des conseils médicaux personnalisés. Aucun traitement ne devrait être entrepris en se basant uniquement sur le contenu de cette lettre, et il est fortement recommandé au lecteur de consulter des professionnels de santé dûment homologués auprès des autorités sanitaires pour toute question relative à leur santé et leur bien-être. L’éditeur n’est pas un fournisseur de soins médicaux homologués. L’éditeur de cette lettre d'information ne pratique à aucun titre la médecine lui-même, ni aucune autre profession thérapeutique, et s’interdit formellement d’entrer dans une relation de praticien de santé vis-à-vis de malades avec ses lecteurs. Aucune des informations ou de produits mentionnés sur ce site ne sont destinés à diagnostiquer, traiter, atténuer ou guérir une maladie
         La Lettre du Professeur Joyeux est un service d'information gratuit de SNI Editions. Pour toute question, merci d'adresser un message à contact@santenatureinnovation.com.


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  •  6 clés pour détecter les mensonges  (04/02/2014)

    Comment déchiffrer illico les signes qui révèlent que l’on est en train de vous raconter des craques ?  

    Laurence Cochet.      Marie France, magazine féminin

    Comment détecter le mensonge?1. Visez le regard :

      Océane a déniché 20 € sous la roue d’une voiture en stationnement. Info ou intox ? Pour le savoir, utilisez l’astuce des pros* de la PNL, demandez-lui de quelle couleur était la voiture. Si elle vous mène en bateau, ses yeux se déplaceront vers votre gauche (sa droite). Et si elle fouille dans sa mémoire, ils partiront à votre droite (sa gauche). Attention, le processus est inversé pour les gauchers.

     *Romilla Ready et Kate Burton, auteures de La PNL pour les nuls (First Éditions).

    2. Méfiez-vous du perroquet :

      Vos fournitures de bureau se volatilisent, encore un coup de Colette ! Enquêtez l’air de rien. Si elle répète vos questions genre « Où est ton agrafeuse ? », elle cherche à gagner un répit, précise David Lieberman*, docteur en psychologie. Si elle répond « Demande à Bernard » avec un cran d’avance ou deux de retard, c’est qu’elle réfléchit à ce qu’elle va dire, moyennant quoi la forme passe en second. Bref, Colette a encore frappé.

    *Auteur de Lisez dans les pensées de vos interlocuteurs (Leduc.s Éditions).

    3. Guettez la moue :

      Habillée d’un top ultramoulant, vous avez soudain un doute : il ne vous ferait pas des tétons un peu trop expressifs ? Votre copine Valérie, passée vous chercher pour aller à la fête, laisse échapper une moue narquoise avant de vous assurer que vous êtes canon. David Lieberman l’affirme : c’est sa moue qui parle sincèrement ! Et vous, vous risquez de vous taper la honte toute la soirée si vous ne changez pas de soutien-gorge.

    4. Mesurez les distances :

      Les sincères s’impliquent, les roublards se dégagent. Quand votre client déclare « ça me plaît » en lisant votre proposition commerciale, c’est signe d’adhésion. Lorsqu’il prétend « c’est intéressant », comprenez « pour un autre ». À l’écrit, un trop grand espace entre le pronom « je » et ce qui suit trahit le doute, explique David Lieberman. L’homme qui vous écrit à la main « Je t’aime » n’est donc qu’à moitié sûr.

    5. Décryptez les longs discours :

      Cinq heures du mat, un bruit de clés, votre ado rentre au bercail avec la tête d’un héros de Tim Comment détecter le mensonge?Burton. Suit une logorrhée d’où il ressort qu’un petit malin a sécurisé sa mob à la roue de son scooter, le bloquant toute la nuit devant la boîte. Il ne vous épargne aucun détail sur ses efforts pour retrouver le fautif… Vous savez ce qu’on dit à la P.J. : des témoignages trop bavards ? Ça sent le bobard !

    6. Matez les mains :

      Votre homme le jure, c’est une plume échappée du matelas de l’hôtel Mercure qui lui a sauvagement balafré le dos. Vous peinez à le croire ? Jouez-la à la Desmond Morris et notez ce que font les mains de votre drôle quand il parle. Si vous les voyez lui couvrir la bouche, lui toucher le nez, lui caresser le menton, passer dans ses cheveux, frotter sa joue, ne doutez plus, votre moitié vous ment effrontément. D’ailleurs, renseignements pris, les matelas de la chaîne sont en mousse.


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  • Mes 50 meilleures recettes cosmétiques (Natacha THIBAULT)

    2013   152 p.  16 €

       Ce recueil de 50 recettes cosmétiques 100 % naturelles vous livre tous les secrets de l'auteur pour une beauté plus saine.

       Classées selon 4 thématiques (soins visage et corps, entretien des cheveux, savons écologiques et maquillage naturel), ces recettes sont élaborées à partir des meilleurs actifs issus des plantes et des huiles essentielles à usage cosmétique.

       Des tableaux synthétiques, des conseils, des gestes beauté et des focus sur les actifs végétaux vous aideront à fabriquer vous-même vos produits cosmétiques, avec plaisir et facilité.

       Fini les produits chimiques qui abîment la peau et perturbent le fonctionnement de notre organisme, place aux produits naturels plus efficaces et sans effet secondaire nocif. Fabriquer soi-même ses propres soins, c'est aussi une démarche respectueuse de notre environnement.

       Natacha Thibault, diplômée en phytothérapie, propose à travers Les Ateliers Bio des animations éco-responsables pour [es groupes et les entreprises autour de la création cosmétique (soins, parfums naturels, maquillage et savons écologiques), ainsi que divers programmes autour des plantes, des fleurs et des huiles essentielles (dégustations, ateliers culinaires bio, bar à fleurs, aromathérapie, etc.).
       Elle rédige de nombreux articles pour des sites internet spécialisés, participe à des reportages télévisuels, anime des conférences et tient un blog consacré à la cosmétique naturelle (www.lesateliersbio.com et www.monateliercosmetique.com).

    Courrier des auteurs le 30/11/2013

    1) Qui êtes-vous ? !
    Natacha Thibault, diplômée en phytothérapie et plantes médicinales est auteure, conférencière et intervenante auprès des entreprises souhaitant communiquer en interne ou en externe sur des thématiques en lien avec la nature, les plantes et les végétaux.
    Elle anime des ateliers participatifs pour les adultes et les enfants : création de parfums naturels et bio, cosmétiques et maquillage naturel, dégustations de fleurs et d'eau florales.
    Elle s'est également entourée de professionnels passionnés pour d'autres thématiques : dégustations de vins et chocolats bio, ateliers culinaires sans aliments raffinés, créations florales ou peinture sur chocolat sans colorants chimiques, etc.
    Site web : www.lesateliersbio.com pour l'évènementiel, et www.monateliercosmetique.com pour la vente en ligne d'ateliers et d'ingrédients cosmétiques.

    2) Quel est le thème central de ce livre ?
    Ce livre aborde la cosmétique à visée esthétique et informe le lecteur sur les composants des produits industriels. Il dévoile 50 recettes simples, efficaces et naturelles avec l'usage des plantes et des huiles essentielles, regroupées en 4 chapitres : visage et corps, soins des cheveux, savons écologiques traitants et maquillage sans pigments et composants chimiques.

    3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
    Selon un institut indépendant, près de 40% des produits cosmétiques contiennent au moins un perturbateur endocrinien (substance qui affecte notre organisme et nos fonctions vitales), contre seulement 1,3% dans les produits labellisés bio.

    4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
    Les 4 saisons de Vivaldi en hommage à la Nature.

    5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
    Une prise de conscience collective sur la nocivité de certains produits cosmétiques industriels (soins, parfums et hygiène) pour la santé et la planète. Et bien sur, une alternative simple, efficace et très économique qui consiste à faire soi-même ses soins avec les plantes et les végétaux.

    Retrouvez la fiche complète sur le choix des libraires

      lechoixdeslibraires.com    en partenariat avec 20minutes.fr

     


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  •   Textile : du blanc et du bio pour mon bébé

    Publié Le 21 Janvier 2014
     
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